Week-end légèrement pathétique.
Aujourd'hui j'ai rencontré les parents d'un petit garcon au prénom délicieusement littéraire et au rire potentiellement salvateur. Bon, ce ne sera pas moi (mais une autre maman) qui le garderai deux matinées par semaine. Mais on t'a beaucoup appréciée, m'a t-on dit plus tard au téléphone. Moi aussi, en plus.
Demain matin, j'ai un entretien d'embauche, un énième call-center. J'irai avec mon plus beau sourire et mon envie la plus débordante de faire jouer la fibre commerciale qui doit bien vibrer quelque part en moi.
C. m'a (re)écrit. Il parle de la tentation du "désséchement humain" dans la vie qu'il mène. Ca m'a fait rire, enfin pas tant que ca.
Ce week-end, pour ma part, je me suis arrosée de héros qui sauvent la pomme pomme girl et le monde (oui sauvez marie pomme!), et de justicier bandant qui dit "Sarah, it's for real" et tu pleures. C'était bien.
Un week-end sans s'abreuver, c'est supposé être bénéfique. Mais maintenant je me sens un peu anormale d'avoir envie de boire un dimanche soir.
13.4.08
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